lundi 10 mars 2008

Chers Amis, Janvilloises et Janvillois,


Mes collègues s’associent à moi pour vous remercier de la confiance qu’une très large majorité a bien voulu nous accorder en élisant, dès le 9 mars, les 19 candidates et candidats de notre liste « VIVRE A JANVILLE ».

Avec une participation comparable à celle observée dans l’ensemble du pays, ce sont en effet de 61 à 68% des suffrages exprimés, qui se sont portés sur nos candidatures.

Pour ceux d’entre nous qui ont participé à la précédente équipe municipale (et n’ont pas perdu de voix, voire en ont gagné) c’est le signe que le travail accompli durant ces 7 dernières années n’est pas désavoué par les habitants de notre village…au contraire !

Bien entendu, nous n’aurons pas la prétention de dire qu’absolument tout a été fait et parfait. C’est bien connu, seuls ceux qui n’agissent pas ne font jamais d’erreur ni d’oubli. Mais le vote des citoyens n’offre t-il pas, justement, la possibilité suprême d’une sanction démocratique, dans le cas où l’insatisfaction aurait été trop grande ? En nous accordant vos suffrages, vous témoignez majoritairement qu’il n’en est rien, que les Janvillois sont globalement satisfaits des réalisations et de la manière, et qu’ils ne considèrent pas avoir été « trompés », comme certains ont cherché, avec obstination, à le faire croire durant sept ans et ces dernières semaines.

Pour nous tous, ce vote positif est donc aussi un encouragement à poursuivre et à faire encore mieux, en tenant compte :

  • de l’expérience des élus sortants,
  • des propositions et de l’énergie que les nouveaux élus apportent,
  • des critiques constructives qui ont pu nous être adressées durant la campagne et que vous continuerez à formuler,
  • de l’avis des Janvillois, et de la participation active et constante de tous ceux, qui le souhaitent, à la vie de notre commune.

Car, si vous nous confiez à nouveau clairement la gestion de cette commune, c’est ensemble, avec vous, qu’il nous appartient de construire les 6 prochaines années pour VIVRE A JANVILLE.


Très cordialement,


Francis Chalot

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