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vendredi 27 février 2009

Jardins de Janville, mars 2009


Neige, glace, vents tempétueux : cette année, nos jardins auront eu droit à un vrai hiver. Les jardiniers, au moins pendant quelques temps, ne pourront pas se plaindre qu’il n’y a plus de saisons. Par ailleurs, cet hiver bien marqué nous aura rappelé l’intérêt de planter des plantes qui résistent à notre climat, en toute saison. Le printemps qui vient sera en effet révélateur : les plantes rustiques (c’est à dire résistantes au gel) se porteront comme des charmes, quand les méridionales et autres exotiques, sauf à avoir bénéficié de soins intensifs et d’une couette en téflon, joueront pour toujours les belles endormies au paradis des fleurs…

Avec Mars, c’est la saison des plantations qui redémarre. Mais si nous voulons jardiner « durable », faisons l’effort d’acheter de vraies plantes vivaces (c'est-à-dire qui reviennent et s’étoffent d’année en année), produites par de vrais pépiniéristes dans de la vraie terre. De plus, sélectionnons les plus rustiques et les moins assoiffées. Les jardiniers essonniens voulant faire connaissance avec les plantes vivaces sont privilégiés : tout près de chez eux, ils pourront bientôt joindre l’utile à l’agréable en se rendant à la 25ème Fête des Plantes Vivaces au château de Saint-Jean-de-Beauregard (Cliquez ICI) les 3, 4 et 5 avril prochains.




A Saint-Jean, on rencontre des pépiniéristes venus de Lorraine, de la Marne, du Morvan… et d’autres régions encore où les plantes qui ne résistent pas au froid hivernal n’ont pas d’avenir. Ces professionnels passionnés viennent partager leur expérience et dispensent sans compter leurs conseils à qui veut bien les écouter. Après une journée passée à les rencontrer, je vous assure qu’on ne regarde plus les pauvres plantes vendues en jardinerie du même oeil !

Oui, plutôt que d’acheter chaque année des barquettes d’annuelles qui finissent au compost au bout de deux mois, plantons des vivaces. En effet, planter des vivaces, ce n’est pas seulement « durable », c’est également économique, même (et surtout) quand on se fournit chez les meilleurs producteurs. Il faut en effet savoir qu’une fois installées, au bout de deux ou trois ans, les plantes vivaces peuvent être divisées.


Ici, un pied de Geranium 'Johnson blue'

tout ensommeillé,

ses bourgeons rouges cachés sous la paille hivernale...



... pas de sensiblerie,

un coup de bêche bien ajusté,

et hop, on obtient de jolis "éclats",

au complet avec bourgeon(s) ET racines,

prêts à être replantés !




Le plus intéressant dans l’histoire, on le voit ici en images, c’est que quand le jardinier divise une plante, il la multiplie ! En mars, on arrache la plante choisie à l’aide d’une fourche bêche, on fend la souche de deux coups de fer de bêche et hop, le tour est joué : UN égale TROIS ! L’arithmétique jardinière est un peu magique, elle nous permet d’étoffer nos plates bandes sans bourse délier.

Vive le printemps !


vendredi 30 janvier 2009

Jardins de Janville, février 2009

Le mois de février à beau être court, il commence en hiver pour se terminer au printemps ! Ce mois très spécial de vingt-huit jours met nos jardins en effervescence, que celle-ci soit visible, ou, le plus souvent, invisible…

Certains signes ne trompent pas : sur les rosiers rugueux, les jeunes pousses bousculent déjà les rares cynorhodons momifiés délaissés par les oiseaux : ouste, place aux jeunes !


(cliquez sur les images,

et hop, elles s'agrandissent!)


Au même moment, bien cachées sous la terre, les souches de plantes vivaces sont dans les starting blocks et ont déjà les bourgeons qui les démangent. Les plantes récemment installées auront profité de l’hiver pour s’étoffer, parfois dans des proportions impressionnantes. Mais pour ne pas avoir de déconvenues, gare aux petites limaces grises, invisibles elles aussi et très friandes de jeunes pousses souterraines, qui sont à l’œuvre dès maintenant. Un bon moyen de contre-attaquer : des granulés bio à base de phosphate ferrique (chercher la mention Ferramol), sans danger pour les enfants, les animaux de compagnie et autres hérissons.

Mais les stars du mois, les plantes qui vont sous peu avoir leurs semaines de gloire, ce sont indéniablement les bulbes de printemps. Déjà, dans l’herbe (ou le gazon, pour les plus méticuleux) de nos jardins, les premiers narcisses commencent à pointer le bout de leur nez,



annonçant l’explosion de couleur qui fera bientôt le bonheur des jardiniers. En attendant, comme un bonheur n’arrive jamais seul, et pour nous aider à patienter avant que d’assister au grand feu d’artifice tout en jaune et orange, les blancs perce-neige sont déjà fidèles au rendez-vous.




Ce printemps, les bulbes mis en terre à l’automne dernier vont faire leur première sortie. Seront-ils fidèles à la photo du catalogue, leur odeur (oui, il y a des narcisses parfumés) sera-t-elle aussi entêtante qu’annoncée… le suspense est insoutenable !

Les bulbes déjà naturalisés se seront-ils étoffés et multipliés, un peu, beaucoup ? Certains auront-ils voyagé à dos de taupe pour nous faire une surprise ? De toute façon, ces premières fleurs de la saison seront forcément belles aux yeux des jardiniers !


Si vous n’avez pas encore de narcisses chez vous, allez les admirer en forêt ou en bord de rivière,


mais sans les cueillir, car le bulbe souterrain a besoin que la plante fane sur place pour se régénérer et être à nouveau productif l’an prochain !

Enfin, histoire de vous donner des envies pour cet automne… et le printemps 2010, allez donc faire un tour sur l’excellent www.tulipes-botaniques.fr, où l’on trouve, outre des tulipes botaniques (dont Tulipa sylvestris, jaune, parfumée… et menacée d’extinction si on ne la cultive plus) une grande sélection de narcisses à naturaliser, botaniques également.


Travaillez du bulbe,

plantez des narcisses

et des tulipes botaniques !



Tulipa sylvestris, la tulipe des bois,

ou tulipe sauvage, grrrr !



dimanche 4 janvier 2009

Jardins de Janville, janvier 2009


C’est l’hiver : il fait froid, il gèle, et quand il ne gèle pas, il pleut… « Qu’est-ce que j’irais bien faire au jardin ? », se dit le commun des mortels.

C’est dans ces temps sombres et froids que l’on peut mesurer à quel point le jardinier appartient à une espèce à part : en hiver, le jardin dort, certes, et encore, seulement d’un œil, mais pour le jardinier, c’est la saison des grandes manœuvres.

Les plus courageux profitent que la sève soit au plus bas pour planter rosiers, arbustes et arbres à racines nues. Même les plus aguerris s’émerveillent, année après année : on creuse un grand trou, on y dépose religieusement ce qui ressemble à s’y méprendre à un vieux bout de bois mort… et oh, magie, on constate le printemps venu que la vie était bien là !


Mais les grandes manœuvres hivernales peuvent également se faire au chaud, entre tisane et feu de bois. Car il faut savoir que le jardinier est un rêveur, et qu’il n’y a pas de saison plus propice au rêve que le grand sommeil de l’hiver.

L’hiver, son carnet de jardin sous le coude, on prévoit le remaniement jardinesque du début de la saison suivante : un peu plus de rose à gauche, une touche de bleu serait bienvenue à droite, une tache de rouge ou de jaune au fond serait idéale pour attirer le regard…



Fin février, début mars, les plantes vivaces sont dans un demi sommeil propice à tous les déplacements. A cette saison, les pensionnaires du jardin pourront déménager sans dommage.

Enfin, en hiver, le jardinier se fait grand lecteur de catalogues, et là encore, il rêve à son jardin du printemps. Soir après soir, il entoure, souligne, marque des pages, pèse le pour, le contre, doute, compare.




Dès maintenant, il concocte sa commande de graines potagères et de fleurs annuelles ; et le printemps venu, il fera sa commande de vivaces. Il salive d’avance en pensant à ses futurs haricots, il se laisse bercer par le doux nom latin de la Julienne des dames, Hesperis matronalis… L’hiver, le jardinier est heureux, il ne risque pas de se faire un tour de reins, car il jardine dans sa tête !

Tout bien considéré, on peut dire sans grand risque de se tromper que c’est en hiver que nos jardins sont le plus beaux, car ce sont des jardins rêvés.


jeudi 4 décembre 2008

Jardins de Janville, décembre 2008


Pas facile de parler jardin à l’orée de l’hiver ! Les dahlias ont fini de noircir, les vivaces s’endorment et se ratatinent, et cela fait belle lurette que les dernières graines de tournesol ont été dévorées. L’hiver, c’est plutôt la saison du « grand ménage » de fin de saison et de l’inévitable rituel du ramassage des feuilles mortes. Une fois ces corvées accomplies, le jardinier pourra sereinement tourner le dos à son jardin et chausser ses pantoufles jusqu’au printemps suivant…


Mais si l’on remisait ces clichés au placard ? Si l’on essayait de se persuader qu’un jardin en hiver peut conserver de l’intérêt, même en l’absence d’arbustes persistants? Allons-y !

Tout d’abord, ce qui vaut dans nos maison ne s’applique pas aux jardins : ces derniers n’ont rien à gagner à être « nettoyés » en hiver. Au contraire, en gardant une couverture de plantes, même « mortes », on évite de mettre la terre à nu et de la faire lessiver par les intempéries, et on offre un abri à la petite faune. De plus, les vestiges séchés de certaines plantes sont loin de manquer d’intérêt esthétique. Les échinacéas, après avoir nourri les oiseaux, prennent des allures de crayons bien taillés :


(cliquez sur les images pour les agrandir !)


A voir leurs vieux péricarpes tous secs, on comprend pourquoi les cardères des foulons étaient jadis utilisés pour carder la laine :



Les tournesols multiflores prennent des silhouettes filiformes qui auraient pu naître, avouons-le, sous la main d’un Giacometti. Oui, décidément, le « ménage » pourra bien attendre le printemps !


Cette invitation à aimer nos jardins en hiver ne serait pas complète sans une mention spéciale pour les graminées d’ornement. A la fois légères et structurantes, elles donnent de l’allure à nos bordures, entre rosiers et vivaces. Une fois sèches, elles prennent de belles teintes fauves et continuent de se dresser fièrement au jardin et de danser au moindre souffle de vent. Les variétés disponibles chez les bons pépiniéristes sont très nombreuses. Parmi les plus célèbres, il y a les Panicum, originaires de la prairie américaine et au port colonnaire, et les Pennisetum tout ronds hérissés de soyeux goupillons, qui nous viennent d’Asie,



D’une sobriété exemplaire, ces herbes très développement durable ne s’arrosent jamais. L’hiver venu, pour notre plus grand plaisir, elles se transforment en pièges à givre d’une grande beauté.



Enfin, ces plantes faciles à vivre ne demandent qu’un seul soin : que l’on coupe la vieille paille à ras vers la fin février, avant le début de la nouvelle pousse (bien-sûr, on utilise la paille…pour pailler). On l’aura compris, les graminées d’ornement sont les meilleures amies des jardiniers paresseux, et le clou du jardin en hiver!


vendredi 31 octobre 2008

Le jardin de Frédéric


Entre Frédéric et les arbres, c’est une histoire d’amour. Une histoire qui a donné naissance à une vocation, et qui a conduit Frédéric à choisir un métier qui lui permettrait de vivre non seulement dans les arbres, mais avec eux. Depuis 1995, Frédéric appartient à la noble corporation des Arboristes Grimpeurs, ces artistes qui vivent à l’écoute des arbres pour mieux les soigner et les entretenir, dans le respect de leur nature.



Dans ces conditions, il n’est pas surprenant que le jardin de Frédéric soit un jardin… d’arbres. Certains, comme le Liquidambar, le Ginkgo ou les fusains, qui offrent en ce moment un flamboiement automnal, sont plantés.



Mais, faute d’espace, la plupart des sujets sont en pots. Frédéric est passionné de feuillages, de ramures et textures. Ce qui l’intéresse, c’est la diversité des essences. Pendant ses loisirs, il collectionne de petits sujets dont il a repéré la forme intéressante, comme son « petit Séquoia géant ».



Ou encore ce petit conifère :



D’autres arbres, comme le très graphique Saule tortueux, seront bouturés.



D’autres encore feront l’objet de patients semis "expérimentaux", après que les graines auront passé quelques mois au congélateur pour imiter un hiver rigoureux et favoriser ainsi la germination. Son dernier coup de cœur est un tilleul à grandes feuilles nervurées et dentées, Tilia Henryana.



Après ses journées entières passées dans les arbres, Frédéric souhaite une vie au jardin « sans contrainte physique», ce qui ne l’empêche pas d’être un jardinier aux petits soins pour les protégés de sa «nurserie», que l’on trouve massés sur sa terrasse, au pied de sa terrasse, autour de la petite mare… un peu partout en fait !



Mais outre l’arboretum miniature, il est un endroit vraiment spécial dans ce jardin. Cet endroit, c’est la cabane :



Une vraie cabane de Robinson, construite exclusivement avec des bois récupérés, sans faire appel aux services de la grande distribution. Officiellement, Frédéric a construit la cabane pour ses enfants. Mais, en l’absence de ces derniers, c’est perché dans ce repaire secret qu’il nous a reçus, et qu’il nous a montré « Georges le rouge-gorge » à l’affût d’une miette au bord de la mare.



Encore un rêve d’enfant réalisé ?


vendredi 3 octobre 2008

Le jardin de Dominique

Derrière la maison de village de Dominique il y a une petite cour étroite, à l’ombre, et dont le sol est en grande partie envahi par les racines d’un vieux cerisier : c’est pourtant ce territoire a priori hostile que Dominique a décidé, il y a quelque dix ans de cela, de transformer en jardin.

(cliquez sur les photos, et elles s'agrandissent !)

Mission impossible ? Non, car Dominique, jardinière subtile, sait que jardin ne rime pas nécessairement avec soleil, et que nombre de plantes d’ombre, tout en restant parfaitement gracieuses, se moquent de la concurrence des racines. C’est le cas par exemple des anémones du Japon, mais également des astrances et des tricyrtis, tous trois présents chez Dominique.

Magnifique Tricyrtys, robuste plante des lisières asiatiques


« Pour attirer l’œil, j’aime associer des plantes à feuillages de couleurs différentes. J’ai une passion pour les jardins japonisants, cela m’a inspiré quelques idées. Je suis constamment en quête d’amélioration, mon exercice favori consiste à planter, déplanter, replanter… ».



Le jardin de Dominique illustre de manière magistrale que l’intérêt d’un jardin ne réside pas simplement dans une profusion de fleurs. Quand nous lui avons rendu visite, les roses anciennes, par exemple, étaient rares et finissantes. Quand on les associe avec art, les feuillages offrent eux aussi un spectacle admirable. Qu’ils soient minuscules, comme celui de l’elxine, qui pousse en une véritable marée verte au pied du cerisier :


colorés, comme ceux des heuchères ou de l’herbe aux goutteux,



ou bien encore découpés et graphiques, comme ceux des hellébores ou des acers du Japon.


Tous les feuillages ne sont pas persistants… d’où l’intérêt, même dans un petit espace, de souligner les contours des massifs avec une belle bordure de buis.


De plus, dans son « mouchoir de poche », Dominique a très vite perçu l’intérêt qu’il y a à cultiver certaines plantes en pots, et pas seulement sur l’appui d’une fenêtre !



C’est une façon très efficace de démultiplier l’espace, tout en le meublant joliment de pots ou vasques bien choisis.


Sans forcer le paradoxe, on peut dire que la courette de Dominique abrite un grand jardin !

vendredi 29 août 2008

Jardins de Janville, septembre 2008


Chaque mois, un(e) Janvillois(e) nous ouvre son jardin.
Ce mois-ci, c'est Monique qui nous accueille.


Après avoir fait ses gammes jardinières sur un balcon parisien dès 1961, les choses sérieuses commencèrent pour Monique en 1976, lorsqu’elle créa son jardin en bord de Juine :

« Après les gros travaux de construction de notre maison, j’ai commencé à faire quelques massifs de fleurs, mais je m’y suis vraiment investie il y a une douzaine d’années, à raison de 5 à 6 heures par jour, mais sans jamais de plan précis, selon les coups de cœur glanés en jardinerie ou sur des catalogues. Maintenant, même si le jardin est bien installé, il m’arrive fréquemment d’y « travailler» quatre à cinq heures par jour quand le temps s’y prête. Mais je n’aime rien tant, au réveil, que de faire le tour du jardin en pinçant les fleurs fanées de-ci de-là. »


La saison préférée de Monique ? « Au jardin, toutes les saisons sont intéressantes, mais j’avoue un petit faible pour le printemps ; tout s’éveille après un long hiver, les oiseaux chantent dès le lever du jour, le coucou s’en donne à cœur joie, et la grive musicienne termine le concert vers 22 heures ; les jours sont longs et les hirondelles sillonnent le ciel en poussant de petits cris stridents. Le hérisson en maraude pointe son museau à la tombée de la nuit. En mai et juin, le jardin atteint toute sa splendeur, pivoines, pavots, œillets, iris, et bien d’autres encore croulent sous les fleurs, tandis que rosiers, lilas, chèvrefeuilles, glycines, seringats et viornes embaument nos soirées. »


Vous qui avez la chance de jardiner en bord de Juine, pourquoi avez-vous construit un bassin ?

Pour moi, jardiner, c’est créer quelque chose : mon bassin est un endroit privilégié dans le jardin, qui inspire calme et sérénité, et porte à la rêverie grâce au bruit d’une petite cascade sous laquelle les carpes koï adorent venir.



Situé au bord de la rivière naturelle, mon bassin artificiel, aussi étrange que cela puisse paraître, renforce l’atmosphère de nature : les joncs indigènes colonisent ses berges et y côtoient le papyrus et les nénuphars. Le bassin est également le rendez-vous des grenouilles et des libellules. Parfois, on y rencontre même une jolie couleuvre à collier jaune !





Les astuces de Monique, qui jardine écolo-bio

    • pour doper les rosiers : une peau de banane légèrement enfouie au pied.
    • au potager : les légumes adorent être arrosés de temps en temps au purin d’ortie.
    • pour garder un hydrangea bleu : une cuillère à soupe de poudre d’alun (en pharmacie) dans l’arrosoir une fois par semaine de février jusqu’à la floraison.


    • Monique ne jure plus que par sa tondeuse avec fonction « mulching » : « La tonte est broyée sur place, on gagne du temps et le gazon reste vert même l’été ! »

    • Mais elle a un petit faible pour son broyeur : « Il me permet d’éliminer toutes les tailles d’arbustes pour en faire du paillis (moins d’arrosage !). C’est le complément idéal du composteur qui élimine tous les déchets organiques du foyer en fournissant un très bon engrais gratuit et surtout naturel : rien ne se perd, tout se transforme ! »


Concours jardinier
Qui saura nommer cette vivace aux larges feuilles, plantée en bord de Juine ?

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